Modifier les droits au chomage


Transformer en profondeur le modèle social… C’est la révolution promise par Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle, l’an dernier. Objectif : instaurer la fameuse flexisécurité à la française sans perdre de temps. La première pierre a été posée, juste après l’accession à l’Elysée, avec les ordonnances réformant le Code du travail qui donnent plus de souplesse aux entreprises. Place maintenant à la deuxième pierre de l’édifice, à savoir : accorder davantage de protections aux salariés, chômeurs, indépendants dans leurs parcours professionnels. Voilà l’ambition du projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, qui sera présenté en Conseil des ministres courant avril. Il comportera trois volets : la réforme de l’apprentissage, celle de la formation professionnelle et aussi -et surtout- celle de l’assurance chômage. Trois thèmes qui ont fait l’objet d’âpres discussions depuis janvier entre les partenaires sociaux. À l’issue desquelles le gouvernement a repris la main. Édouard Philippe a déjà levé le voile pour l’apprentissage. A partir de 15 heures, il prendra la parole dans un cadre bien moins intime, puisqu’il s’adressa à des centaines d’adolescents ou de jeunes adultes. Le secrétaire d’Etat à la Jeunesse a indiqué au Parisien comment le gouvernement comptait faire remonter la parole des jeunes, lors des conférences citoyennes de mars. Manifestement, les lycéens de l’établissement d’Auteuil sont enthousiastes et ravis que le président de la République ait choisi leur école pour cette étape organisée dans le cadre du grand débat national. Communication oblige, le secrétaire d’Etat Gabriel Attal a posté une courte vidéo du président visiblement à l’aise, en train de prendre un selfie avec les étudiants. Emmanuel Macron a su impressionner les maires lors de son premier grand rendez-vous, le 15 janvier dernier. Mais il faut bien dire que les règles et le cadre de l’organisation étaient clairement et soigneusement fixés. Certains élus, moins béats, ont regretté qu’Emmanuel Macron usent trop souvent du « Oui, on va voir ce qu’on peut faire ». Ce jeudi, à Etang-sur-Arroux, en Saône-et-Loire, il n’est pas certain que ce genre de circonvolutions suffise à lisser les débats. Emmanuel Macron a face à lui, à partir de 15h, un millier de jeunes, âgés de 15 à 25 ans. L’Elysée assure que le président échangera avec « un échantillon assez large et représentatif des jeunes » : des lycéens, des étudiants, des volontaires du service civique. Le vendredi 25 janvier, Marlène Schiappa et Cyril Hanouna co-animeront une émission dédiée au Grand débat national. Voilà un duo auquel personne ne s’attendait. Le vendredi 25 janvier, Marlène Schiappa et Cyril Hanouna co-animeront un numéro de Balance ton postentièrement consacré au Grand débat national. Une nouvelle que C8 a confirmée dans un communiqué de presse publié en ce début de semaine. « Retraités, infirmiers, demandeurs d’emploi, commerçants, enseignants, agriculteurs… seront sur le plateau de BTP ! Ils témoigneront de leur quotidien. Ensemble nous tenterons de transformer leurs problèmes en propositions. » En fin d’émission, les téléspectateurs auront la possibilité de choisir sept idées qu’ils souhaitent voir transmises au gouvernement. Cette annonce a eu l’effet d’un véritable raz-de-marée sur les réseaux sociaux. En participant au prochain numéro de Balance ton post, Marlène Schiappa espère « trouver une issue à la crise des Gilets jaunes ». Un sujet auquel Cyril Hanouna a déjà dédié plusieurs de ses émissions. « Je ne veux pas animer la partie émission. ] Moi, je viens avec mes paper board, mes petits feutres Velleda et on va faire un atelier constructif, un véritable atelier, enregistré sur le site du Grand débat national. Parce que ça nous permet de parler de ce grand débat à 700 000 personnes qui regardent l’émission de Cyril Hanouna. Frédérique Vidal, Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’état au numérique présentent aujourd’hui à Toulouse les grandes orientations du plan national pour l’intelligence artificielle. 115 millions pour les superordinateurs (supercalculateurs). 130 millions pour les instituts de recherche technologique (IRT). Soumise à confirmation, nous avons pu constater que différentes sources ne concordent pas précisément. Cette enveloppe de 665 millions ne concerne que la recherche, et fait partie de l’enveloppe globale d’1,5 milliard d’euros sur le quinquennat annoncée par Emmanuel Macron suite au sommet AI for Humanity. Ce plan, qui fait suite aux propositions du rapport présenté par Cédric Villani et des annonces d’Emmanuel Macron lors du sommet AI For Humanity a pour objectif de renforcer la puissance de la France dans l’intelligence artificielle. Ce plan national inclut notamment la création des instituts 3IA dont la liste des candidats présélectionnés a été annoncée récemment. L’état prévoit de consacrer 200 millions d’euros au financement de ces instituts qui sont des regroupements régionaux de pôles de compétences pluridisciplinaires dédiés à la recherche en intelligence artificielle. L’état semble avoir désormais pleinement conscience que la France a elle seule ne pourra pas rivaliser avec les deux plus grandes puissances de l’intelligence artificielle que sont les Etats-Unis et la Chine. La volonté annoncée aujourd’hui par Frédérique Vidal et Mounir Mahjoubi est de faire de l’Europe une puissance, qui soit, elle, capable de rivaliser. Cela grâce au concours de la France notamment, mais également de l’Allemagne qui a récemment annoncé un investissement de 3 milliards d’euros dans l’intelligence artificielle, ainsi que du reste de l’Europe. La France consacrera d’ailleurs 115 millions aux coopérations. », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse de présentation du Salon de l’agriculture. « J’ai dit que je ne laisserai pas faire et je dépasse mon rôle de ministre, mais je le fais, comme ministre, pour forcer les choses », a-t-il clamé. « Je suis prêt à affronter le débat. Je l’ai dit à deux grands patrons assez connus qui ont tendance à faire de la publicité dans la presse sur le prix du Nutella ou du Coca-Cola. Mais moi je vais faire de la publicité aussi, des campagnes de presse pour dire à combien part un kilo de bœuf, un kilo de porc, ou litre de lait », a-t-il déclaré. « e n’ai aucun problème pour dire que quand il y a des promos où le bio est moins cher que le conventionnel, ça ne peut pas durer ». Didier Guillaume s’est cependant déclaré « optimiste » : « C’est la première fois qu’autant de contrats ont déjà été signés au 15 janvier. Et pour avoir vu les acteurs avant et après, ils sont plutôt pas mécontents. Aujourd’hui il y a un changement de paradigme et ils l’ont compris ». Créée en 1958 par le général de Gaulle, la DAM emploie environ 4600 personnes réparties dans toute la France pour concevoir, garantir, réaliser et entretenir les têtes nucléaires qui équipent les forces nucléaires aéroportée et océanique. La DAM réalise également les réacteurs nucléaires pour la propulsion navale, soutient les Autorités nationales dans la lutte contre la prolifération nucléaire et la lutte contre le terrorisme. Enfin, grâce au programme « simulation » lancé en 1996 à la fin des essais nucléaires, la DAM dispose d’une expertise d’exception reconnue au plus haut niveau mondial notamment dans les domaines des supercalculateurs et des lasers de puissance. « Plus jamais ça ». Cette phrase a suivi bien des guerres, bien des conflits. Elle résonne en nous comme autant de souvenirs douloureux, de récits hantés par la peur et le poids des disparus. « Plus jamais ça ». Voilà ce qui a forgé dans nos esprits une certitude : la paix n’a pas de prix, la liberté a besoin d’un glaive et d’un bouclier. Notre Nation avait besoin d’une arme qui la protège. D’une arme qui montre que, jamais, on ne peut se jouer de la France. ] une nuit d’août 2008 ». Christophe Castaner affirmait lui-même au quotidien du dimanche : « Oraison, c’était mon grand frère, mon protecteur. Il m’appelait l’étudiant ». ] J’ai été sur le fil du rasoir. ] il se met à vivre la nuit. Entre sorties en boîte et parties de poker, où il croise quelques figures du milieu marseillais. ] Il dit avoir vécu des cartes ces années-là, attiré par «l’argent facile» et les grosses cylindrées, tout en trouvant le temps de piger pour la presse locale et d’adhérer au PS ». Un passé visiblement assumé par Christophe Castaner, dont la période « interlope » s’est achevée à l’âge de 20 ans. Et qui a bien affirmé, en tant que ministère de l’Intérieur, le 13 novembre dernier : « Je demande qu’il n’y ait aucun blocage total. ] Partout où il y aura un blocage, et donc un risque pour les interventions de sécurité et aussi la libre-circulation, nous interviendrons ». Vous souhaitez que l’équipe de la rubrique Fake off vérifie une info ? Envoyez un mail à l’adresse fakeoff@20minutes.fr. 20 Minutes est partenaire de Facebook pour lutter contre la désinformation. Grâce à ce dispositif, les utilisateurs du réseau social peuvent signaler une information qui leur paraît fausse. C.C. En effet, nous nous sommes construits ensemble. Nous sommes entrés en même temps dans la vie active. Nous avons vu notre premier ballet, le lac des Cygnes, à Paris ensemble. Nous avions 22 ans. J’ai choisi sa ville, Forcalquier,comme port d’attache local. Lorsque je regarde une vitrine, je sais sur quel objet va se poser son regard. Dans une exposition nous sommes interpellés par les mêmes oeuvres. Gala : C’est elle qui vous a remis sur les rails lorsque vous avez connu une période d’errance en fuyant votre père violent et le domicile familial à l’âge de 18 ans ? C.C. : Je suis en effet parti de chez moi vers 16/17ans. J’ai vécu de petits métiers, j’ai été serveur de bar de boîte de nuit, maçon, je me suis aussi fait de l’argent facile grâce au jeu. Hélène n’a jamais cautionné cela. Sans être dans la sanction, elle m’a juste rappelé qui j’étais. Elle a eu son bac avec mention, je me suis dit que je devais reprendre les études. J’ai passé mon bac en candidat libre. Je ne voulais pas qu’un écart se creuse entre nous. Je ne voulais pas la perdre.


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